Désengrammation pour les addictions – Ostéopathe à Rennes
Une addiction vous enferme dans un cercle vicieux dans lequel il est difficile de sortir, faisant souffrir vos proches et vous-même. Elle a des conséquences négatives sur l’individu, au niveau psychologique, relationnel, social et même physique. Souvent, une personne dépendante ne parvient pas à se libérer de son addiction, malgré les tentatives répétées pour réduire, contrôler ou abandonner le comportement addictif.Isabelle Rochedreux, ostéopathe à Rennes, aide ces personnes à atteindre leur objectif grâce à une approche innovante : la désengrammation.

Les addictions
Une addiction est caractérisée par une conduite motivée par une envie répétée et irrépressible, malgré les efforts réalisés pour arrêter et la connaissance du danger de ce comportement sur la santé. Elle peut être liée à la consommation d’une substance psycho-active (alcool, tabac, drogue, chocolat…) ou être d'ordre comportemental (addiction aux jeux, au travail, achats compulsifs…). Les facteurs entraînant une addiction peuvent être psychologiques, sociaux ou biologiques. La dépendance peut, par ailleurs, être physique. La privation peut alors engendrer un état de manque et différents symptômes (tremblements, convulsions…). Mais elle peut aussi être psychologique ou comportemental. Dans tous les cas, la personne ressent une sorte de plaisir ou de soulagement pendant qu’elle s’adonne à son addiction. Lorsque le comportement ou la consommation devient excessif, il peut occasionner des risques pour la santé, avec des complications physiques ou psychiques importantes.
La désengrammation comme solution
De nombreuses personnes souffrant d’addiction se sentent esclaves de la substance à laquelle elles sont dépendantes et ne savent pas comment en sortir. La désengrammation apparaît comme une solution efficace et ayant fait ses preuves contre un usage pathologique d’une substance telle que l’alcool, le tabac, le chocolat, etc. Cette méthode consiste à recadrer le cerveau vis-à-vis de la molécule à laquelle le patient est dépendant. Isabelle Rochedreux se connectera au MRP (Mouvement Respiratoire Primaire) du patient pour que ce dernier puisse se reconnecter à son cerveau primaire et engendrer le processus de désengrammation au contact de la molécule, enfermé dans un petit tube. L’ostéopathe a ainsi besoin d’un échantillon de la substance en question pour tester et désengrammer la personne.Les résultats sont visibles dès la première séance, avec une réduction considérable, voire un arrêt total, du comportement, et cela sans effort. En deux ou trois séances seulement, le traitement sera achevé et le patient sera totalement libéré de son addiction.